La Croix
Événements
Le numérique pour doper l’écologie
Les Cahiers techniques du bâtiments
« L’affaire Facebook-Cambridge Analytica montre que nos données personnelles ont un impact collectif », pointe Jacques-François Marchandise, de la Fing
L’usine Nouvelle
Trois commandements… pour marier écologie et numérique au sein des entreprises
L’usine Nouvelle
Le numérique : ami ou ennemi de l’environnement ?
Les Echos.fr
Faire de la transition numérique un accélérateur de la transition écologique
up-magazine.info
Livre blanc « Numérique et Environnement » – 26 actions pour concilier révolution numérique et transition écologique
caissedesdepotsdesterritoires.fr
Un livre blanc pour que développement du numérique et écologie ne soient plus incompatibles
linfodurable.fr
Un livre blanc pour concilier développement du numérique et protection de l’environnement
Environnement Magazine
Un livre blanc pour plus de vert dans le numérique
Makery
Livre blanc numérique et environnement
Faire de la transition numérique un accélérateur
de la transition écologique
Le Livre Blanc numérique et environnement, présente 26 propositions d’actions aux acteurs publics pour mettre le potentiel de transformation du numérique au service de la transition écologique. Il a vocation à lancer le débat sur les mesures les plus appropriées, à susciter des contre-propositions et des propositions complémentaires, à nourrir la réflexion des pouvoirs publics. Il a vocation à ouvrir un nouvel agenda politique : celui de la convergence des transitions numérique et écologique.
Découvrir le livre blanc Numérique et environnement
Ce livre blanc a été publié par l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), la Fondation Internet Nouvelle Génération (Fing), le WWF France et GreenIT.fr, avec le concours du Conseil National du Numérique (CNNum).
Faire de la transition numérique un accélérateur de la transition écologique
Livre Blanc Numérique et Environnement
26 propositions pour lancer le débat
[Communiqué de presse]
Connaissance du territoire : un nouveau cycle de conférences à l’Ecole de journalisme de Marseille
go-met.com
Précaires, personnes âgées, ruraux… les naufragés de la « dématérialisation » des services de l’Etat
Marianne
Les data au service des villes
lesechos.fr
Au fait, le numérique c’est quoi ?
On réduit trop souvent le numérique à sa composante technique – pour simplifier, une suite de calcul pour organiser et optimiser des processus, à l’échelle d’une organisation, d’un territoire ou d’un secteur.
Considérer le numérique sous ce seul angle est une grande source d’incompréhension quand on parle de “mettre le numérique au service de…”.
En effet, s’il est bien sûr un ensemble de technologies (infrastructures, transmission, stockage, captation, etc.) c’est aussi, et d’abord :
- des usages souvent désordonnés d’échange, de partage, de coordination, pouvant aller jusqu’à la collaboration et la mobilisation. En ce sens, le numérique est d’abord et avant tout un fait social.
- de nouvelles manières de fonder sa stratégie, de concevoir des modèles ou de prendre des décisions, fondées sur la production et l’exploitation de données. C’est la dimension “cognitive” du numérique, qui revisite en profondeur les manières de faire de la recherche, d’innover, de penser l’organisation d’une ville, …
- c’est aussi une culture générant de nouveaux modèles qui bousculent aujourd’hui les rapports sociaux et économiques (BlaBlaCar ou AirBNB sont des modèles numériques, mais avec de vraies voitures et de vrais appartements).
On a tendance à penser que le numérique servirait d’abord à mettre de l’ordre, à organiser, hiérarchiser… C’est en partie vrai, mais c’est aussi et surtout une source de désordre, créatif et désorganisé. Ordre et désordre : le numérique tire dans les deux sens ! De par la place qu’il prend aujourd’hui dans nos vies, nos économies et nos sociétés, prendre des décision sur le “numérique”, c’est prendre des décisions politiques. Le numérique n’a rien de neutre : selon qu’on cherche à distribuer du pouvoir d’agir au plus grand nombre, à prendre de meilleures décisions pour un petit nombre d’acteurs ou que l’on cherche à transformer des modèles, on ne demande pas la même chose au numérique. Derrière le numérique, il y a une intention ! Pour preuve, la multiplication des algorithmes prédictifs dont les résultats sont souvent erronés ou biaisés.
Enfin, d’un point de vue purement technologique, et même scientifique, le numérique, ce ne sont pas que des ordinateurs. Le chercheur du MIT Neil Gershenfeld définit le numérique comme une logique particulière consistant à créer par l’assemblage de pièces existante, comme dans un jeu de lego. De fait la réalité numérique n’est pas une nouveauté : au sein d’une cellule, l’ADN et les ribosomes l’utilisent depuis des millions d’années ! C’est pourquoi certains nouveaux champs technologiques, comme la biologie synthétique, peuvent être considérés comme des applications de cette « logique numérique ».
Pour aller plus loin, les principaux travaux de la Fing sur ces questions :
- Infolab et “Parlez-vous data ?”, sur la culture de la donnée
- ReFaire, sur les nouveaux modes de conception d’objets et services
- ShaREvolution, Alléger la Ville et Audacities, sur les pratiques numériques urbaines et les modèles de co-production urbaines
- Transitions2, sur les apports du numérique à la transition écologique
Lancement du Libre Blanc « Numérique et environnement »
mediaterre.org
A quoi ressemblera la Smart City de demain ? Une ville intelligente
thegoodlife.thegoodhub.com