Rétro-design de l’attention : une responsabilité sans responsabilisation

Dans le traitement de la question attentionnelle, les acteurs qui l’exploitent, renvoie toujours l’utilisateur à sa propre responsabilité. Si les écrans semblent les boucs émissaires idéaux de tous les troubles attentionnels, reconquérir sa liberté cognitive, elle, relève toujours de la seule responsabilité de l’usager. Qu’importe si une multitude de développeurs et de designers – ces captologues – façonnent toujours plus finement, via les interfaces, la frontière entre l’incitation et la manipulation, améliorant sans cesse la boucle de rétroaction du moindre de leurs outils, pour favoriser compulsion et addiction.

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