Libération, l’Usine Nouvelle : le projet MesInfos dans la presse

Alors que le concours d’applications MesInfos se clôture, deux articles coups sur coup sur l’un des projets phares de la Fing en 2014, MesInfos.


3« Donnez, donnez, le Big Data vous le rendra« , Libération, 7 avril 20143
Par Patrick Cappelli

«Une fois n’est pas coutume, la France n’est pas trop en retard par rapport à cette évolution de la société numérique. Le projet MesInfos, mené par la Fing depuis novembre, rassemble sept grandes entreprises privées, des administrations et des fondations. Et surtout un groupe de 300 personnes qui ont accès à leurs données personnelles restituées par ces organisations via un «cloud personnel sécurisé» géré par la start-up française CozyCloud. Le logiciel de Privowny, une société fondée par un Français mais basée en Californie, sert à naviguer dans ce fleuve de relevés de comptes, contrats, factures, tickets de caisse, etc. «L’expérience est suivie par le ministère de l’Economie et par la Cnil. Il s’agit d’observer comment les testeurs utilisent cette opportunité, et inventer de nouveaux services et de nouveaux usages», détaille Daniel Kaplan. Un partenariat 2.0 censé être «gagnant-gagnant» d’après les sociétés qui participent à MesInfos. D’un côté, des consommateurs dotés d’une vision globale de leur identité numérique auparavant éparpillée, capables de dialoguer d’égal à égal avec les entreprises. Et, de l’autre, des organisations plus transparentes et donc moins soupçonnables de pratiques douteuses.»

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3« Crise de confiance dans la data« , L’Usine Digitale, 8 avril 20143
Par Aurélie Barbaux

« »On ne va pas pouvoir mettre en place sérieusement le compteur intelligent [de l’électricité, du gaz, ndlr] si on ne restitue rien au consommateur« , prévient Daniel Kaplan, le directeur général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing).
Cette association a lancé en mai 2013 le programme de recherche MesInfos : « Si j’ai une donnée sur vous, vous l’avez aussi. Et vous en faites… ce qui a du sens pour vous ! » Quelque 300 volontaires accèdent ainsi aux données dont les entreprises participant au projet (Axa, Orange, Google, la Société générale…) disposent sur eux. Une communauté de développeurs imagine des services innovants autour de celles-ci. « La confiance ne revient pas juste en rendant les données aux gens. Il faut leur proposer des applications qui apportent quelque chose« , explique Daniel Kaplan. Une approche qui a séduit Michael Schack, le directeur général d’Ecometering Smart Energy Solution, filiale de GDF Suez, qui a rejoint le programme afin d’intégrer des données énergie à la réflexion globale autour de la restitution aux usagers.»

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