Transitions² / Défi n°11 : Les “modèles ouverts” au service de la transition écologique

En synthèse

Défi n°11 : Les “modèles ouverts” au service de la transition écologique

L’enjeu : inscrire des intentions écologiques dans les “modèles ouverts” – et non l’inverse

  • La complémentarité entre écologie et modèles ouverts (principalement) issus du numérique est potentiellement claire : les modèles ouverts sont susceptibles de permettre à des projets à visée écologique de passer à la grande échelle, sans nécessairement abandonner leurs principes et valeurs ;
    -* Mais les modèles ouverts ne sont pas “verts” par essence : tant qu’il n’y a pas une intention explicite d’impact positif sur l’environnement et que cette intention n’est pas une priorité de l’organisation, les modèles ouverts n’ont pas d’impact positif sur l’environnement ;
  • Pour progresser, l’enjeu est double : d’un côté, tirer parti de l’expérience des modèles ouverts pour permettre à des projets écologiques de grandir, se répliquer, se relier, se pérenniser… de l’autre, il s’agit d’enrichir les modèles ouverts par des modalités de prise en compte et de gestion des impacts._

> Lire la suite du défi « Les “modèles ouverts” au service de la transition écologique” (.pdf, 5 pages)

[(A propos de ce travail

Cet article est extrait de l’ « agenda pour un futur numérique et écologique », publié en mars 2019 dans le cadre du programme Transitions² initié par la Fing.
L’ « agenda pour un futur numérique et écologique » s’organise en 20 « défis ».

> Lien vers la publication complète (Creative Commons))]